Un matin en formation, une dame nous explique combien elle est vite atteinte par les remarques désobligeantes ou submergée d’émotions négatives. Pour reprendre ses mots : elle prend sur elle.
Je m’entends alors lui dire qu’elle doit choisir son camp : être un canard ou une éponge. Elle me regarde médusée.
Le canard dis-je, n’est pas atteint par l’eau de pluie. Elle ruisselle sur ses plumes. L’éponge, bien. Et vous devrez l’essorer longtemps avant de la sécher complètement. Bonne chance ! Continuer la lecture