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Nathalie, l’Aigle qui s’est envolé : L’art oratoire comme tremplin vers l’excellence

Nathalie Thunus

Il y a près d’un an, Nathalie m’a confié une mission de taille : l’aider à briller lors du plus grand événement d’art oratoire organisé au Grand-Duché de Luxembourg. Son objectif ? Être élue meilleure oratrice de la soirée. Un défi colossal pour quelqu’un qui n’avait jamais pris la parole en public devant une telle audience.

Une préparation sur-mesure

Nathalie n’a pas reculé devant l’effort. Elle a parcouru 484 kilomètres (aller-retour) pas moins de huit fois pour participer à nos sessions de coaching dans la campagne paisible de Merbes-le-Château. Chaque séance était enregistrée, et elle écoutait ces enregistrements dans sa voiture, exploitant chaque minute pour s’améliorer.

Ensemble, nous avons repensé son discours, en l’ancrant dans une narration puissante grâce au storytelling. Rien n’a été laissé au hasard : de son entrée sur scène à sa sortie, en passant par l’éclairage, le son, et chaque inflexion de sa voix. Je l’ai filmée, analysée, et lui ai donné des retours qu’elle a intégrés avec rigueur. Sa détermination était exemplaire, jusqu’à me solliciter pour choisir sa tenue parmi plusieurs options.

Le Grand Soir : Nathalie triomphe

Le jour J, Nathalie était prête. Et elle a littéralement conquis son audience. Face à neuf orateurs chevronnés et 500 spectateurs, la débutante est montée sur scène et a livré une performance inoubliable. Le verdict ? Nathalie a été élue meilleure oratrice de la soirée.

Pour moi, ce moment illustre parfaitement ce qui me motive dans mon métier : voir une personne déployer ses ailes, dépasser ses limites et s’élever. C’est ce que j’appelle « s’Envoler… avec les Aigles ».

L’art oratoire : un levier pour l’entrepreneur

La prise de parole en public est sans doute la Formule 1 de la confiance en soi. Et pour un entrepreneur, c’est une compétence clé. Qu’il s’agisse de motiver une équipe, convaincre des investisseurs, ou séduire des partenaires, maîtriser l’art oratoire peut faire toute la différence.

C’est une passion que j’ai explorée à travers de multiples facettes : acteur, chanteur, formateur, et auteur de Le crime de l’orateur. Ce livre, devenu un one-man-show, m’a permis de partager ma passion avec des milliers de personnes.

Eagle Star : une expérience inédite

Cette passion m’a également poussé à créer Eagle Star, un séminaire résidentiel immersif de cinq jours dédié à l’art oratoire. Niché dans le cadre somptueux du Château de Cocove en France, ce programme réunit 12 participants et 8 coaches d’un niveau exceptionnel. Ensemble, nous travaillons intensément pour transformer chaque participant en un orateur hors pair.

La prochaine session d’Eagle Star en avril est déjà complète… mais une place vient de se libérer. Seriez-vous prêt à vous envoler ?

Prendre la parole en public, c’est bien plus qu’une simple compétence : c’est un acte de transformation personnelle. Alors, êtes-vous prêt à franchir le pas et rejoindre les Aigles ?

Comment Transformer Vos Prospects Invisibles en Clients Visibles

Dans tout type de marché, deux types de prospects se démarquent : les prospects visibles et les prospects invisibles.

Qui sont ces prospects ?

Les prospects visibles sont ceux que vous connaissez déjà. Vous savez qui ils sont, où les trouver, et ce qu’ils recherchent. Ce sont les cibles les plus évidentes et souvent les plus faciles à convaincre, car leur besoin est clair et exprimé.

En revanche, les prospects invisibles représentent un groupe bien plus large de personnes. Ils ont besoin de ce que vous proposez, ils le veulent même, mais ils ne se manifestent pas. La raison ? Leur invisibilité provient de ce qui se passe dans leur esprit. Ils n’ont pas encore exprimé leur besoin de manière identifiable ou ne savent pas encore que votre solution existe.

Comment atteindre les prospects invisibles ?

Il peut être tentant de vous tourner immédiatement vers des publicités sur Facebook ou Google pour toucher un large public. Cependant, si vous ne comprenez pas ce que pensent vos prospects invisibles, ces efforts risquent de manquer leur cible. Les résultats seront décevants, car vos messages ne résonneront pas avec leurs préoccupations profondes.

La clé pour transformer ces prospects invisibles en prospects visibles repose sur une seule chose : entrer dans leur esprit. Pour cela, vous devez comprendre la conversation interne qui se déroule dans leur tête. Ce concept, popularisé par Robert Collier, consiste à “entrer dans la conversation qui se déroule dans l’esprit de votre prospect”.

Par où commencer ?

Pour comprendre vos prospects, il est essentiel de connaître le langage qu’ils utilisent :

  • Comment décrivent-ils leurs problèmes ?
  • Quels termes emploient-ils pour exprimer leurs besoins ?
  • Quelles émotions ou frustrations sous-jacentes les motivent ?

En écoutant et en observant attentivement, vous pouvez identifier les mots exacts qu’ils utilisent. Ces mots deviennent alors votre arme secrète pour construire des messages publicitaires percutants.

Pourquoi le langage est-il si important ?

Lorsque vous utilisez les mots que vos prospects utilisent eux-mêmes pour décrire leurs défis et leurs aspirations, quelque chose de magique se produit : ils se sentent compris. Ils vous perçoivent comme une personne ou une marque qui “lit dans leurs pensées”. Cela crée une connexion immédiate et renforce leur confiance en vous et en votre solution.

Passez à l’action

Pour rendre vos publicités plus efficaces et faire émerger vos prospects invisibles :

  1. Analysez votre marché : Écoutez ce que disent vos prospects sur les forums, les réseaux sociaux ou dans les avis clients.
  2. Utilisez leur langage : Intégrez leurs mots et expressions dans vos publicités, vos emails et votre contenu marketing.
  3. Créez une connexion émotionnelle : Montrez que vous comprenez non seulement leur problème, mais aussi leurs émotions et leurs aspirations.

Les prospects invisibles représentent un potentiel immense. Cependant, pour les atteindre, vous devez penser comme eux et parler leur langage. Lorsque vous le faites correctement, vous ne serez plus simplement une entreprise qui vend un produit. Vous deviendrez la solution évidente à leurs besoins, quelqu’un qui les comprend vraiment.

Et c’est à ce moment-là que vos prospects invisibles deviendront visibles… et vos clients fidèles.

Il était une fois Sophie et les 7…

Il était une fois Sophie, une jolie Fée qui se promenait dans une jolie forêt. Elle y cherchait de nouvelles herbes pour l’élaboration de ses thés. Elle les concoctait avec tant d’amour qu’ils se vendaient dans tous les bourgs alentour.

Ce matin-là, elle tomba nez à nez avec un drôle d’énergumène. Il se figea. « Qui es-tu ? », demanda Sophie avec toute la douceur du monde pour ne pas l’effrayer.

Suspect, bégaya-t-il. Je m’appelle Suspect.

Et toi, qui es-tu et que fais-tu là ?

Sophie, dit-elle. Je cueille des herbes.

Ne sais-tu pas que cet endroit est dangereux ?

Dangereux ?

Nous l’appelons « Le Marché » car des gens comme toi viennent y marcher pour chasser, planter, cueillir.

Mais ici, les concur-ronces sont nombreuses.

Quand un arbre tombe, il sème des em-bûches.

Il y a quelques années, un champignon a décimé une partie de la forêt. Nous avons dû rester cloîtrés dans nos refuges, nos grottes, nos tanières. Quand le champignon a été éradiqué, nous n’avions presque plus de vivres.

Il y a pire : n’approche jamais de Ley Tah.

Qu’est-ce donc ?

Un lieu maléfique gardé par des politi-chiens baveux, affamés. Ley Tah te prend tout ou presque. Il te dépouille. Un vrai marécage.

Et toi, Suspect, que fais-tu donc ici, si c’est si dangereux ?

Avec mes 6 frères et sœurs, nous aidons les personnes valeureuses comme toi, qui osent entreprendre le voyage. Nous les guidons sur les chemins escarpés et piégeux du marché.

Mon rôle personnel est d’attirer tous les gens qui ont besoin de ce que d’autres peuvent leur proposer. Je les guide vers les meilleurs choix. Je pourrais, par exemple, diriger vers toi les personnes désireuses de boire un thé aussi délicieux que le tien, dit-il avec malice !

Et tes sœurs et frères ?

Prospect, lui, inviterait les personnes à goûter ton thé !

Sophie sourit.

Conversion proposerait, aux personnes qui ont goûté et apprécié ton thé… de l’acheter !

Tu me fais une offre, dis donc ????

Oh non, c’est tout à fait désintéressé. Notre mission est d’offrir tout notre savoir-faire à celles et ceux qui veulent et peuvent apporter du bien-être à la communauté, des services et des produits de valeur, sans tomber entre les pattes des politi-chiens, sans se frotter aux concur-ronces, sans être engloutis par Ley Tah.

Suspect, Prospect, Conversion, et…, demanda Sophie ?

Et VA poursuivit Suspect.

Eva ?

Non ! Et VA ! C’est son petit nom. Elle s’appelle Ventes Additionnelles. Son job pour toi serait d’inviter les fins gourmets qui achètent ton thé, à acheter aussi, par exemple, d’autres variétés, d’autres saveurs, même un mug tout mignon ????

Vous êtes sacrément organisés !

Attends !

Tu ne connais pas encore PM, Prix Moyen. PM a tant de confiance en lui, tant de confiance dans ta contribution, qu’il augmente les prix, dès qu’il le peut. « Ce qui n’a pas de prix, n’a pas de valeur », martèle-t-il. À lui tout seul, il renverse des montagnes !

Quelle merveilleuse confrérie, dit Sophie.

Je serais aussi ravi de te présenter Fréquence. Elle déploie tant d’inventivité et de gentillesse… que les personnes qui auraient déjà acheté ton thé reviendraient et reviendraient encore.

Vous allez me faire travailler beaucoup, dit Sophie en riant. Mais au fait, qui est la dernière ou le dernier ?

Suspect se tut un instant.

Marge, dit-il enfin. Marge sort les crocs dès qu’il lui semble que l’un de tes partenaires ou fournisseurs te fait payer trop cher. Alors il négocie pied à pied, sans jamais ternir la relation évidemment. Il traque aussi toutes tes dépenses inutiles. C’est un peu notre Schtroumpf costaud.

Alors, dit Suspect, on bosse ensemble ?

Elle rit de bon cœur : « Bien sûr… c’est même déjà le cas ! Je n’ai pas attendu notre rencontre pour vous connaître et aiguiller vers vous des entrepreneurs perdus. Je suis une… Fée… Je veux qu’ils soient pleinement heureux, dans ce marché.

Diantre, dit Suspect, Sophie la Fée !

Sur ce, il fit demi-tour à la rencontre de ses 6 frères et sœurs, afin de leur annoncer la nouvelle et leur présenter sa nouvelle amie.

Elle l’arrêta.

Suspect, dit-elle.

Oui.

Justement, puis-je emmener avec moi quelques-uns de ces entrepreneurs ? Ils créent des choses magnifiques, mais trop peu connues. Trop peu de gens en profitent.

D’accord dit Suspect. Mais pas plus de 14 s’il te plaît ! S’ils sont plus, nous risquons de bâcler notre travail, ce qui est hors de question.

Les résultats doivent être nettement supérieurs à toutes leurs attentes.

Fantastique, dit Sophie. Et elle disparut dans un rayon de lumière bleue.

Bientôt elle reviendrait, en joyeuse compagnie, pour une bien belle aventure… et tous s’Envoleraient… avec les Aigles…

Pourquoi les livres sont bien plus que de simples objets

Il est fascinant de réfléchir à notre relation avec les livres. Sont-ils des biens de consommation, comme le prétend une approche « utilitariste » ? Ou sont-ils bien plus que cela : des outils de croissance, des compagnons de route, des sources infinies d’inspiration ?  

 

Récemment, j’ai découvert un magnifique texte d’Umberto Eco, qui possédait une bibliothèque personnelle de 50 000 livres.  

 

 La Bibliothèque Comme Source de Provisions  

 

Eco expliquait que les livres ne sont pas des produits de consommation. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas encore lu un livre qu’il perd de sa valeur. Il comparait même les bibliothèques personnelles à des pharmacies :  

 

> « Quand on veut se sentir mieux, alors on va au placard à pharmacie et on choisit un livre. Un livre aléatoire, mais le bon livre pour le moment. »  

 

Avoir une grande bibliothèque, c’est donc avoir une réserve de savoir et d’inspiration toujours à portée de main. Chaque livre est une porte vers une nouvelle perspective, une nouvelle idée.  

 

 Acheter Plus de Livres Que l’on Ne Peut Lire ?  

 

Pour certains, acheter plus de livres que l’on ne pourra jamais lire semble insensé. Mais cette critique manque une dimension essentielle :  

 

– Les livres sont des possibilités.  

– Ils sont là pour nous enrichir, pas seulement au moment où on les lit, mais aussi par leur simple présence dans notre environnement.  

 

Eco va même plus loin en dénonçant la « mentalité de consommateur » appliquée aux livres. Un livre ne devrait jamais être considéré comme une marchandise, mais comme une porte vers la connaissance et la transformation.  

 

 La Connaissance Comme Richesse  

 

À la Eagle Academy, nous croyons fermement que la connaissance est l’une des plus grandes richesses. C’est pourquoi nous mettons l’accent sur l’apprentissage continu, que ce soit à travers les livres ou nos Form’Actions, avec une triple promesse :  

 

  1. Travailler moins en devenant efficient, en déléguant, en automatisant.  
  2. Gagner plus grâce à des stratégies puissantes et à une maîtrise de la vente.  
  3. Créer une entreprise vendable, en bâtissant un système indépendant de votre présence.  

 

Mais au-delà des résultats financiers ou organisationnels, c’est cette idée fondamentale qui nous guide :  

 

> « S’élever en élevant les autres, élever les autres pour s’élever. »  

 

Les livres, comme les formations, sont des outils qui permettent de grandir tout en aidant les autres à grandir avec nous.  

 

 Un Appel à la Curiosité  

 

Alors, achetez des livres. Non pas pour les lire immédiatement, mais pour ce qu’ils représentent : une invitation à apprendre, à explorer, et à découvrir.  

 

Prenez plaisir à remplir votre bibliothèque personnelle, comme vous rempliriez une armoire à pharmacie ou un garde-manger : avec des provisions pour nourrir votre esprit au moment opportun.  

 

Et souvenez-vous : la connaissance ne s’use pas. Chaque livre que vous possédez enrichit votre vie, même s’il reste sur l’étagère.  

 

Bons achats de livres, bonne lecture et… continuez à nourrir votre esprit et celui des autres ! ????

Le parcours d’obstacles de l’entrepreneur !

Voici Grégory Wathelet, numéro 1 belge de saut d’obstacles,
dans ses œuvres au Concours International de Malines.

Il finit 3e !

Même si vous n’y connaissez rien aux chevaux,
allez voir un concours de cette dimension.
L’ambiance y est fantastique…
… et on se surprend à être patriote 🙂

Un tel parcours ressemble tellement à celui d’un entrepreneur :

– Seulement 6 cavaliers sans faute sur 41 concurrents.
Il y a peu de monde au sommet.

– Le cavalier pilote son cheval comme nous sommes censés piloter notre entreprise. Censés.

– Quand la barre tombe, surtout ne pas se retourner mais regarder devant.
Nous en tirerons les leçons plus tard, car le timing est clé et l’échec vertueux.
Lire, à ce sujet, le livre du philosophe Charles Pépin : “Les vertus de l’échec”.

– Il y a des chutes. Remonter tout de suite.

– Il y a des refus, quand le cheval s’arrête net devant l’obstacle.
Repartir et resauter.

– Si le parcours est réussi, caresser son cheval et lever les bras.

– S’il ne l’est pas, caresser son cheval. Il a tout donné.
Encourager l’effort, pas seulement le résultat.

– Dans 99% des cas, la responsabilité est celle du cavalier… Assumons !

– Lever les bras et savourer chaque succès…
…ce que nous ne faisons sans doute pas assez.
Comme si notre “compétition” n’avait aucune fin.
Comme si nous participions à un marathon en sprinteurs.

En revanche, là où l’entrepreneur s’entraîne peu à l’entreprenariat,
est souvent formé à un métier, pas au métier de l’entreprenariat justement,
mais à son vrai métier, s’éparpille, peine à se focaliser, se perd parfois dans des tâches secondaires, déléguant peu ou mal, oubliant que sa m… est toujours le lingot d’or de quelqu’un d’autre, le cavalier, lui, s’entraîne sans relâche. A son vrai métier.
Le cavalier de haut niveau ne s’entoure que de A-Players.

A vous de sauter et de Voler… avec les Aigles 😉

Recruter et manager : l’intuition, une fausse bonne idée  

Récemment, un client m’a confié avoir recruté « à l’intuition ». Un Aigle, bien sûr, mais pas encore tout à fait rodé aux méthodes rigoureuses. Avec un sourire gêné, il ajouta : « Tu vas me dire que ce n’est pas bien. »  

 

Et il avait raison. Recruter à l’intuition, bien que séduisant par sa simplicité, est rarement une stratégie gagnante. Cela peut fonctionner, oui… sur un malentendu. Mais pour construire une équipe performante et solide, il faut bien plus qu’un simple ressenti.  

 

 L’intuition : un piège courant  

 

Prenez l’exemple de ce dirigeant d’une société informatique qui m’a avoué, lui aussi, recruter « à l’intuition ». Le résultat ? Sur 12 collaborateurs, 11 avaient exactement le même profil social que lui. Une coïncidence ? Probablement pas.  

 

Ou encore cet autre entrepreneur qui affirmait avec conviction que son beau-fils était le meilleur candidat pour un poste clé. « Sur des dizaines de candidats, c’est justement ton beau-fils ? Quelle chance ! » ai-je répondu, avec une pointe d’ironie.  

 

Ces exemples montrent que l’intuition, lorsqu’elle est seule aux commandes, peut biaiser nos décisions et nous priver de talents divers et complémentaires.  

 

 Pourquoi recruter exige rigueur et méthode  

 

Recruter, c’est un peu comme organiser un casting pour un film. On ne choisit pas l’acteur principal sur un coup de tête, mais en évaluant précisément ses compétences, son adéquation au rôle et sa capacité à collaborer avec le reste de l’équipe.  

 

La qualité d’une équipe, rappelez-vous, est celle de son élément le plus faible. Pour éviter les erreurs de casting, il est impératif de :  

  1. Définir clairement les compétences recherchées.  
  2. Utiliser des outils et méthodes validés par la science.  
  3. Laisser l’intuition intervenir uniquement en fin de processus, pour départager les finalistes.  

 

 Manager : l’intuition a-t-elle sa place ?  

 

Recruter n’est que la première étape. Encore faut-il manager efficacement. Là encore, l’intuition seule peut mener à des approches inadaptées.  

 

Un exemple classique : manager tout le monde de la même manière ou, pire, comme vous aimeriez être managé. C’est non seulement inefficace, mais également inéquitable. Chaque collaborateur est unique, avec ses forces, ses faiblesses et ses besoins spécifiques.  

 

> « À chaque serrure, sa clé. »  

 

Pour être un leader performant, il faut savoir adapter son management à chaque individu et chaque situation.  

 

 Les outils pour recruter et manager efficacement  

 

Si vous voulez bâtir une équipe solide, diversifiée et performante, ne laissez pas votre intuition guider toutes vos décisions. Optez pour des outils et des méthodes éprouvés. Et si vous aspirez à devenir un meilleur manager, à tirer le meilleur de chaque collaborateur, il existe des formations et des accompagnements pour vous y aider.  

 

Alors, serez-vous rigoureux ou continuerez-vous à faire confiance au hasard ?  

 

Contactez-nous pour découvrir comment recruter et manager avec excellence. 

 

Si vous n’osez pas dire NON ou si vous ABOYEZ, si vous êtes trop « gentil » ou trop « dur », ce message est pour vous !

Dans cet article, je vous propose 2 pistes à explorer :

 

  • Verte : un conseil facile à appliquer !
  • Bleue : un livre à dévorer !

 

Piste Verte :

Vous avez un message difficile à dire ? Un NON ?
Une critique ? Une mauvaise nouvelle ?

Entraînez-vous ! C’est l’acteur qui vous parle !
RÉ-PÉ-TEZ !

Votre bouche doit s’habituer. Vos lèvres. Tout votre corps.
Répétition à haute voix + répétition mentale.

Le jour J à l’heure H, même si vous tremblez, vous oserez,
pour reprendre le titre du livre de Susan Jeffers (« Tremblez mais osez ! »).

Piste Bleue :

Un livre définitivement EXCELLENT !

Épaule cassée, c’est la fessée, épaule foutue…

Vendredi 29 juillet 2022 : je tombe dans mon living
et me fais mal à l’épaule gauche. Très mal.

De kinés en ostéopathes en orthopédistes, le verdict-diagnostic
tombe après plusieurs mois (!) : luxation postérieure de l’épaule.
Le cas rare par excellence. 96% des luxations de l’épaule sont antérieures…

Une année sans monter à cheval, sans pratiquer le moindre sport,
hormis le tennis. Coup de bol, je suis droitier et ai un revers à une main.

3 juillet 2023 : clinique St-Luc de Bouge. Le Docteur Étienne Lejeune
me place une prothèse. La Star de l’épaule, c’est lui.

Selon les différents témoignages, je devrai porter une attelle durant
6 semaines, ne pas conduire avant 6 semaines, ne pas monter à cheval
avant 4 à 6 mois, ne pas retourner au fitness avant 6 mois.

Selon les mêmes témoignages, je vais avoir mal. Encore.
Je pense alors : « Plus mal qu’avec cette épaule foutue
qui me met parfois (littéralement) à terre, ça m’étonnerait. »

Notons que le chirurgien n’a rien dit de tout ça. Il n’est pas étonné
quand je lui explique que ma douleur me fout littéralement la paix
si je chante, si je joue au tennis, si j’anime une conférence.
« Le corps est merveilleux », dit-il.

Vendredi 25 août : rendez-vous à son cabinet. Je lui fais mon compte-rendu.
Jamais je n’ai eu mal. JAMAIS. L’attelle a sauté au bout de 2 jours. J’ai reconduit
après 10 jours. Ou 9 ? Le Doc est étonné. J’ai déjà quasiment tout récupéré.
Bon, de temps à autre, un mauvais mouvement entraîne bien une gêne.
Rien d’autre. En accord avec lui, je peux remonter à cheval et retourner à la salle de sport.

Sa conclusion, il la dira 3 fois : « Vous avez un gros mental. »

Et c’est vrai que je m’étais préparé à récupérer vite.
J’avais visualisé le processus. En (com)battant. En guerrier.

Je suis fier de moi.

Ai-je toujours cette force-là ? Oh non. Fort malheureusement.
J’aimerais tant… Mais à l’instar du pratiquant en Arts Martiaux,
le mental s’entretient sans doute jusqu’au bout d’une vie. Jusqu’au lointain soir.

Pourquoi je vous raconte tout ça ?

Parce que le développement du mental (du mindset dit-on dans le jargon)
est la fondation de tous les programmes de la Eagle Academy. TOUS.

 

Bon Vol avec les Aigles !

Connaissez-vous la stratégie du canard ?

Avez-vous remarqué que lorsqu’une éponge
a été plongée dans l’eau, on a beau la tordre,
l’essorer dans tous les sens, elle continue de dégouliner ?

Avez-vous remarqué que le canard, lui,
voit l’eau lui glisser sur les plumes.

Le canard n’est pas affecté par les affects des autres.
L’éponge, si.

Et vous, Pauline, êtes-vous plus souvent
éponge ou plus souvent canard ?

Comment devenir canard ?

Commencez par vous le dire, même à haute voix :
«Fais le canard », comme d’autres
disent « Je le vaux bien » ????

Bref : soyez un bon publicitaire et utilisez le bon slogan.
Vous finirez par ancrer le comportement qui lui est associé.

 

Bon Vol avec les Aigles !

Une bonne fois pour toutes, faut-il faire confiance à son intuition ?

Un homme et son amie, philosophe,
se promènent sur une colline.

Ils aperçoivent un troupeau de moutons.

« Ces moutons sont tondus », dit l’homme.

« Oui, de ce côté », répond la philosophe.

L’intuition, dit Julia de Funès (petite-fille de Louis ????),
est la sédimentation de nos expériences.

Par expérience, on se doute
que les moutons sont tondus des 2 côtés.
Sans quoi, le berger est un drôle !

On se doute. On ne sait pas.
On présuppose.

Or, que dit le 3e accord Toltèque ?
Pas de présupposition !

Mon conseil : utilisez votre intuition
quand vous avez épuisé le recours à l’analyse.

Un peu comme quand vous embauchez et que
2 candidats se valent après un assessment.
L’intuition tranche alors.

Bon Vol avec les Aigles !