Voici comment inverser le processus du vieillissement, selon un célèbre spécialiste

 

Bientôt vous saurez comment inverser le processus du vieillissement !

Mais d’abord, rappelez-vous que le marketeur comble un manque.

Il observe ce que le marché a et ce qu’il veut.
Il comble l’écart.

Il le comble s’il pense de façon indépendante, dit le célèbre auteur Robert Greene.
Il le comble s’il s’adapte rapidement, si son point de vue est unique.

Et le monde, ajoute Greene, grouille de problèmes critiques et d’opportunités pour ces entrepreneurs-là !

Alors ce processus du vieillissement ?
On l’inverse comment ?

J’ai trouvé la réponse dans « Atteindre l’excellence (à contre-courant) », du fameux Robert Green :

« L’esprit conventionnel est passif : il consomme de l’information et la régurgite sous des formes familières. L’esprit redimensionné est actif. Il transforme tout ce qu’il digère en quelque chose de neuf et d’original, il crée au lieu de consommer. »

C’est alors que nous « ranimons consciemment notre élasticité mentale et inversons le processus de vieillissement. »

Vous ranimerez votre élasticité mentale si vous (re)devenez un explorateur.
Car un entrepreneur est un explorateur.

Vous inverserez le processus du vieillissement si vous rallumez votre flamme de créateur.
Car un entrepreneur est un créateur.

Si vous osez quitter le rivage, l’enfer connu, pour aller vers un Paradis qui ne l’est pas.

Si, a contrario, vous vous êtes enfermé dans de vieilles certitudes, vous êtes vieux déjà.

Choisissez : ronronner ou oser les nouvelles idées ?
Vieillir prématurément ou vivre intensément ?

À 75 ans, ma propre mère, psychanalyste, est soudain propulsée par une énergie folle, dévastatrice : elle a… un tout nouveau projet ????

Belle leçon. Bel exemple.

 

Je laisse les derniers mots à Monsieur Greene :

« Ce qui tue notre force créatrice n’est ni l’âge ni le manque de talent, mais notre propre attitude.

Nous nous installons dans les certitudes acquises en phase d’apprentissage.

Nous redoutons d’adopter de nouvelles idées, car cela demande des efforts.

Quand nous pensons de façon plus souple, nous prenons des risques : celui d’échouer, de se ridiculiser.

Nous préférons que tout ronronne, au milieu des idées familières et des habitudes intangibles.

Mais nous payons pour cela le prix fort : notre esprit dépérit faute de défis et de nouveauté. »

 

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Et vous Volerez avec les Aigles.

 

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